Bébés & jeunes enfants (0 -3 ans)

 

Apaiser, rassurer, éveiller ! Comment communiquer avec les touts petits? Comment les accompagner dans leurs émotions?

Quand venir avec mon bébé  ?

 Dès que vous en sentez le besoin ! Car les émotions seront apaisées plus vite  !

Souvent on attend d’avoir tout essayé. D’être au bout du rouleau parce qu’on ne dort plus la nuit. Au moins nous aurons fait du mieux que nous pouvions.  Ou alors parfois  on se demande si ce n’est pas un peu tôt, est ce que nous nous inquiétons pour rien? Comment savoir si c’est utile de venir? 

Même lorsque votre bébé n’ a  quelques mois, il est possible de venir avec votre lui et déposer vos inquiétudes et les siennes pour les transformer en paix dans une relation de confiance thérapeutique.

 

Ces séances sont des Rencontres. Elles vous aident à vous retrouver, à vous sentir soutenus, rassurés, dire ce qui ne s’est pas dit qui est à l’origine de la situation qui vous amène. Riches en émotions, intenses , elle sont très souvent libératrices. Ce sont de  belles expériences à vivre quand la confiance est présente. Et votre bébé partage cette joie !

marie lucas psychologue paris 7e bilan psychologique

Pour quels motifs puis je venir avec mon bébé?

Vous pouvez venir à partir du moment où par exemple :

-Il y a eu soit un vécu traumatique à la naissance ou pendant la grossesse, le post partum, des changements  ou stress familiaux, soit tout était super, vous êtes là jour et nuit pour votre bébé, mais les comportements anxieux perdurent et augmentent;

-Il y a des difficultés à grandir, à passer certaines étapes du développement, à accepter le petit frère ou la petite soeur, 

-Des difficultés face aux émotions de votre enfant  qui n‘accepte pas les frustrations, les limites, alors que justement vous faites le maximum pour l’éduquer dans la bienveillance ect..

Ces difficultés émotionnelles se manifestent par :

 

  •  des troubles du sommeil (multiples réveils nocturnes, difficultés d’endormissement)
  •  une angoisse  de séparation  massive (dès qu’il n’est pas avec vous, même si ailleurs il s’adapte)
  • des refus alimentaires sans cause physiologique, des difficultés à lâcher le biberon ou le sein la nuit alors qu’il n’en a physiologiquement plus besoin,
  • des changements de comportements dû à un choc émotionnel; des colères, refus, crises émotionnelles, agressivité, que vous ne savez plus comment gérer
  • des difficultés autour de la propreté, des régressions, vouloir rester un bébé

Troubles du sommeil

Vous bercez votre enfant des heures dans les bras et il se réveille dès que vous le posez dans son lit? Il ne s’endort que dans le vôtre ? Il s’endort facilement mais se réveille plusieurs fois par nuits voire toutes les heures? Vous optez pour le canapé du salon ou le matelas par terre? …Vous êtes épuisés et avez peur de craquer? Vous angoissez à l’idée de reprendre le travail ainsi? Pour y arriver, c’est en équipe ! 

Angoisse  de séparation 

Votre enfant hurle à la mort dès que vous changez de pièce, il a l’air paniqué dès que l’un de vous deux est en dehors de son champ de vision?

Pourtant vous êtes présents, votre bébé est peut être même serein dans son mode de garde, il dort bien.  Vous essayez de lui donner le plus de sécurité intérieure possible au travers de vos bras et de votre présence, des soins que vous lui prodiguez.

Il y a peut être eu des hospitalisations, des week end sans lui, ou vous ne le confiez jamais à personne, ou encore il y a une situation de séparation parentale difficile. Vous lui expliquez, lui  parlez. 

Cette angoisse de séparation persiste. Ces difficultés vous semblent le signe d’autre chose. Si nous faisions le lien ensemble?

Refus alimentaires

Votre enfant a souffert de reflux, coliques, intolérances, ou a dû être hospitalisé. C’est fini, et pourtant le sommeil reste compliqué la nuit.  

Ou vous observez dès la diversification des refus alimentaires, du tri sélectif. Voire même un refus total de boire de l’eau. Eventuelle hypersensibilité orale, choc psychologique.. Après avoir tout essayé, dont vous transformer en chef gastronomique.. vous ne lui donnez que  3-4 aliments voulus, de  marques précises, car s’il ne mange pas… Sauf qu’il grandit, cela devient contraignant et vous inquiète..

Ou tout va bien, sauf que.. votre bébé continue à se réveiller la nuit pour son lait alors qu’il n’en a plus besoin. Sinon ce sont des hurlements.. comment sortir en douceur de ce noeud gordien  ?

 Peur de grandir 

La rentrée approche et votre enfant n’est pas propre, ou bien il veut bien aller aux toilettes de la maison mais se retient toute la journée à l’école, et vous finissez par avoir un traitement de choc chez le docteur, mais le problème est toujours  là..

 Votre enfant vous dit  peut être clairement             qu’il veut rester un bébé ! Vous observez des régressions, des étapes difficiles à passer.. Il peut être même ultra timide, n’ose pas se défendre à l’école et vous sentez que cela impacte les séparations. 

Que se passe t ‘il dans son coeur? Et hop, lui apprendre en lui donnant la main à grandir avec l’obstacle !

 Gestion des émotions

Votre enfant sait se faire comprendre, vous              avez compris qu’il décharge le soir,  mais quand il vous  tape ? mord ? tape à la crèche? Refuse le « non », la frustration? que se passe t il ? Comment accueillir l’émotion en posant une limite pour l’aider à grandir ? 

Vous avez lu des livres, êtes rodés à la « parentalité beinveillante » alors d’où viennent ces « crises » qui sont trop fréquentes?  Comment l’aider à gérer ses colères? canaliser ses émotions? 

Comment se déroule l’accompagnement?

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Dans la grande partie des situations ces  rencontres sont uniques, ou se renouvellent dans un  accompagnements brefs,  de 2 ou 4  rencontres pour une problématique. Parfois un suivi ponctuel, pour des thématiques différentes, un peu comme un pédiatre de famille accompagne l’enfant à passer certaines étapes.

J’accueille votre enfant avec vous.  C’est une séance où je dialogue avec votre bébé aussi, je mets des mots sur ses réactions à ce que vous évoquez de la situation. Vous lui parlez aussi, nous échangeons concrètement sur la situation. J’apporte un soin particulier à l’observation des émotions chez votre bébé dans ses expressions corporelles, son comportement, le langage passant majoritairement par là.

Lorsqu’il y a un traumatisme, un choc émotionnel, une raison précise amenant à des comportements anxieux, la 2e séance est consacrée à la résolution de cette anxiété, pour l’enfant. Vous venez avec un album de naissance, des photos..

Les conseils de résolution pratique donnés aux parents se font lors de la séance suivante, sans votre enfant. 

Lorsque votre enfant a environ 2-3 ans, selon le contexte, nous pouvons faire une partie de la séance soit juste avec lui, soit avec lui et vous, sous forme de jeux, d’exercices dans lequel nous allons reprendre les évènements, émotions importants de son histoire pour en transformer la vision en s’ancrant dans le réel, ses forces. 

C’est à la suite de la première séance seulement que nous évoquons la suite. 15 jours sont souvent laissés entre les séances pour évaluer ce qu’il se passe.

Dans beaucoup de situations, notamment concernant les troubles du sommeil ou de la séparation dûs à des traumatismes, une  à deux séances suffisent. Il y a un aspect un peu magie dans ces séances, où les changements sont souvent immédiats grâce à la plasticité cérébrale du bébé qui ne demande qu’à être rassuré et aimé pour grandir en sécurité ! 

précision : j’accompagne votre enfant, votre famille, vous. Je ne suis  pas une résolution de problème, j’ai besoin de vous.

Il arrive parfois que cela ne suffise pas, l’enfant reste anxieux. Tout petit il n’est pas responsable de ses émotions. Parfois il faut aller chercher plus loin, dans le passé, les générations antérieures. C’est alors à vous de décider de mener la suite de cet accompagnement avec un professionnel travaillant à dénouer les retentissements des histoires passées sur vos angoisses et celle de votre bébé. Je vous propose les coordonnées d’une personne de confiance à ce moment là.

Parfois tout simplement, il faut trouver la raison dans un anxiété circonstancielle vécue par la famille et non dite, une tension dans le couple, au travail.. Lorsque la situation traumatique est toujours en cours, ou que l’attachement est toujours fusionnel et non autonome entre le parent est l’enfant, la situation a besoin pour se débloquer de la liberté intérieure du choix de grandir de l’enfant et surtout du parent. Aimer c’est être à côté, être deux, un avec un  et non pas en fusion, qui existe alors? L’enfant est angoissé, car se détacher est impossible et morbide..

Envie de se rencontrer? Je suis à votre écoute pour échanger par ici